A l’âge de 10 ans, son professeur lui demande de faire chanter l’hymne national à tout les membres de son école.
L’année de ses 20 ans,
Assoh Babylas quitte le Bénin et se rend à Lomé au Togo. Il y fonde son premier groupe, les Happyness. Il se rend ensuite à Abidjan et c’est à cette occasion qu’il se met à chanter du reggae.
Après être passé par la Hollande et l’Italie,
Assoh Babylas vit aujourd’hui à Saint Etienne.
En 2005, il sort son premier album « La mort des justes ». Le CD comporte 11 titres d’excellentes qualités. Les chansons sont homogènes et les instrus résolument roots sont superbes. Les textes dénoncent les dérives des dirigeants européens et africains, ainsi que la nécessité pour les pays d’Afrique de s’unir.
On retrouve la Dub Incorporation sur la chanson « Black and white », la connexion entre groupes résidant à Saint Etienne étant une tradition.
Bref, cet album est une perle du reggae roots africain.
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