En fait la maison où Tami grandit était le lieu de répétition du groupe de ses parents et devint le studio d’enregistrement de son tout premier album. Le background multiculturel unique de Tami (un mélange de caucasien, chinois, cherokee et afro-américain) a donné une personne cultivée, sensible au pouvoir de la musique et à l’idée que celle-ci est universelle.
D’un bout à l’autre de sa carrière, elle a collaboré avec des stars internationales du Reggae tels que
Sean Paul,
Beenie Man et
Lady Saw. De plus, elle a vibé avec des artistes underground tels qu’assassin,
Wayne Marshall.
Avant sa carrière musicale, elle tourna avec
Shaggy en tant que danseuse de secours sur son mémorable Caught Red Handed Tour pour la promotion de l’album Hot Shot.
Tami n’est évidemment pas un poids léger dans le monde du Reggae Dance Hall, en ayant participé deux années d’à filer au plus important contest reggae du monde : le Reggae Sumfest 2004 et 2005. Tami a prouvé être un atout majeur pour l’industrie de la musique. Au-delà de son ascension et sa reconnaissance par un public toujours captivé par sa voix incroyable, des lyrics et un rythme ravissants enveloppés dans la rhapsodie douce d’une vrai artiste, Tami a non seulement réussi à poursuivre, mais à conquérir son amour pour la musique.
Son premier album : "Looky, Looky" enregistré à Kingston témoigne d’un style et d’une conduite stimulés par le développement d’un son qui casse le moule de la musique typique entendue à la radio ; un mélange qui inspire le mouvement des corps et l’arrangement de l’âme.